[Resumen extraído de la fuente original] 

La “maison” groupe domestique et mémoire desancêtres, ensemble des biens patrimoniaux propres et droits d'usage (et de partage) des biens communaux  mis à la disposition de tous les résidents -conduit des stratégies orientées vers sa permanence et sa reproduction entant qu'unité économique, sociale et symbolique. Alliances, achats et ventes, échanges, comportements concertés ou isolés cherchent, à travers la circulation des personnes et biens qu'ils mettent en jeu, un effet de maximisation visant à agrandir le capital disponible -ou, en tout cas, à empêcher sa diminution -et veillent à ce que, quand le partage est (ou devient) la règle, autant d'unités puissent se former et poursuivent, à leur tour, les mêmes buts. Mais, si cette “matérialité“ conduit à la distinction de chacune des maisons du groupe et constitue, au départ, le support de son identité, celle-ci est, simultanément, produite et renforcée par des opérations symboliques dont les enssecache à l'intérieur des représentations que les agents s'enfont. Dans les notes qui suivent nous nous interrogeons sur la place que le fait de nommer occupe dans la production et le réarrangement de l'identité de la maison en utilisant des données qui se rapportent à Rio de Onor, un village de 120 habitants et 58 vizinbos (foyers, maisons) des montagnes du Nord-Est du Portugal, situé sur la ligne de démarcation frontalière et ayant juste en face un autre village (espagnol), consituant tous les deux une aire d'endogamie très rarement rompue. Nous prenons notre champ d'analyse en sachant que le niveau symbolique d'où il ressort se mêle à ceux qui se concrétisent en des comportements plus pragmatiques, à fonctionnalité plus apparente -les stratgies matrimoniales et/ou patrimoniales- et qui, on insiste sur ce point, déterminent la définition, la situation, la identification de chacune des maisons.